PCOSenseMD

Sans OGM | Sans gluten | 129 g | NPN 80088423

Formule pour le syndrom des ovaires polykystiques

Régule le cycle menstruel, soutient la fertilité et fait baisser le taux de testostérone
  • Contribue à la gestion des symptômes métaboliques et hormonaux du SOPK
  • Favorise le bon métabolisme du glucose et réduit la résistance à l’insuline
  • Soutient la fonction ovarienne, la qualité des ovules et la fertilité chez les femmes atteintes du SOPK
  • Peut favoriser l’issue de la fécondation in vitro (FIV) chez les femmes atteintes du SOPK
  • Aide à maintenir la capacité du corps à métaboliser les nutriments
  • Soutient un cycle menstruel normal et abaisse le taux de testostérone sérique chez les femmes atteintes du SOPK

PCOSense offre une solution naturelle complète aux femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Il figure parmi les premières préparations associant le myo-inositol et le D-chiro-inositol dans un rapport 40:1, avec du folate et de la vitamine B12. Cette préparation soutient la fertilité et un cycle menstruel normal, une glycémie équilibrée et des taux de testostérone sérique réduits chez les femmes aux prises avec le SOPK.

Posologie recommandée (adultes) : Mélanger 1 mesure (2,15 g) avec 250 mL d’eau, deux fois par jour, ou selon les directives d’un praticien de la santé.

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), l’un des troubles métaboliques et hormonaux les plus répandus, touche une femme sur dix en âge de procréer (Costantino et al., 2009). Les femmes souffrant du SOPK présentent divers symptômes associés à la dysfonction menstruelle et l’excès d’androgènes, notamment un cycle menstruel irrégulier, la prise de poids, l’infertilité et la résistance à l’insuline (Costantino et al., 2009 ; Genazzani et al., 2014). Le SOPK est la cause la plus courante d’infertilité due à l’anovulation (absence d’ovulation).

La résistance à l’insuline touche de 30 à 40 % des femmes atteintes du SOPK et semble jouer un rôle déterminant dans le dysfonctionnement ovarien. De multiples essais cliniques appuient la supplémentation en myo-inositol et en D-chiro-inositol pour contrer les symptômes hormonaux et métaboliques liés au SOPK en favorisant un bon métabolisme du glucose et en réduisant la résistance à l’insuline (Costantino et al., 2009 ; Genazzani et al., 2014 ; Gerli et al., 2007 ; Regidor et al., 2018 ; Formuso et al., 2015).

Le folate actif (L-5-MTHF) et la méthylcobalamine (vitamine B12) soutiennent la fertilité et le développement précoce normal du fœtus, aident à la formation des globules rouges et contribuent au maintien d’une bonne santé (Imdad et al., 2011 ; Visentin et al., 2016). Des études cliniques montrent que la supplémentation en folate au moins trois mois avant la conception et durant les premiers stades de la grossesse réduit de 41 % le risque d’anomalies du tube neural (Imdad et al., 2011).

Des essais cliniques ont démontré que le myo-inositol et le D-chiro-inositol favorisent un cycle menstruel normal et l’ovulation chez les femmes atteintes du SOPK (Benelli et al, 2016 ; Gerli et al., 2007). Dans une méta-analyse de sept essais impliquant 935 femmes infertiles recevant du myo-inositol parallèllement à un traitement d’induction ovarienne avant une ICSI ou une FIV, on a noté une amélioration significative du taux de grossesse clinique accompagnée d’une amélioration de la qualité des embryons et des stimulants ovariens (Zheng et al., 2017). Lors d’une étude clinique incluant 48 femmes atteintes de SOPK et d’irrégularité menstruelle, les participantes ont reçu 1 g de D-chiro-inositol par jour avec 400 mcg d’acide folique pendant six mois. Les chercheurs ont conclu à l’efficacité du D-chiro-inositol pour améliorer la fonction ovarienne et le métabolisme, amélioration se traduisant par des diminutions statistiquement significatives de la tension artérielle systolique, de la LH, du rapport LH/FSH, de la testostérone libre et totale, de la delta 4 androstènedione et de l’indice HOMA, ainsi que par des augmentations statistiquement significatives de la SHBG et du rapport glycémie/IRI. De plus, on a noté une augmentation statistiquement significative de 62,5 % de la régularisation du cycle menstruel (Laganà et al., 2015).

Le myo-inositol est converti en D-chiro-inositol dans l’organisme mais on pense que cette conversion s’effectue trop rapidement chez les femmes atteintes de SOPK, ce qui entraîne un taux de D-chiro-inositol plus élevé et de myo-inositol plus faible. L’excès de D-chiro-inositol (> 600 mg par jour) nuit à la qualité des ovules et amplifie les problèmes d’infertilité. Le rapport physiologique myo-inositol/D-chiro-inositol est de 40:1, ce qui en fait le rapport optimal pour la supplémentation (Benelli et al., 2016). De plus, lors d’une étude clinique, la prise d’un supplément de 1,1 g de myo-inositol et de 27,6 mg de D-chiro-inositol par jour a aidé à améliorer la qualité des ovocytes et des embryons, ainsi que le taux de grossesse chez des femmes aux prises avec le SOPK suivant un traitement de FIV (Colazingari et al., 2013).

Le myo-inositol et le D-chiro-inositol dans le rapport physiologique optimal de 40:1 peuvent aider à soutenir une fertilité normale en cas de SOPK. Lors d’un essai aléatoire contrôlé par placebo de six mois impliquant 46 femmes atteintes du SOPK et ayant un IMC supérieur à 30, les participantes ont été assignées soit à un groupe traitement recevant du myo-inositol et du D-chiro-inositol dans un rapport 40:1, soit à un groupe placebo recevant de l’acide folique. Comparativement au groupe placebo, les femmes du groupe recevant le traitement ont présenté des améliorations significatives des paramètres endocriniens et métaboliques, soit une diminution de la testostérone libre, la LH, la glycémie à jeun, l’insuline à jeun et l’indice HOMA. Le groupe en traitement a également présenté une augmentation significative des taux de 17-bêta-estradiol. Aucune amélioration métabolique ou endocrinienne significative n’a été constatée dans le groupe placebo (Benelli et al., 2016).

Lors d’un essai clinique à double insu contrôlé par placebo, des femmes atteintes de SOPK ont reçu un supplément de 4 g de myo-inositol et 400 mcg d’acide folique par jour. Au bout de 16 semaines, les femmes prenant le myo-inositol présentaient une augmentation de 84 % de la sensibilité à l’insuline de l’ensemble du corps, alors qu’il n’y avait aucun changement dans le groupe placebo. On a également constaté que le myo-inositol avait amélioré la tolérance au glucose et réduit la concentration de testostérone sérique totale et la concentration de testostérone sans sérum respectivement de 66 % et 73 %. De plus, 69,5 % de ces femmes ont ovulé, comparativement à 21 % de celles ayant pris le placebo (Costantino et al., 2009). Lors d’un autre essai à double insu contrôlé par placebo, des patientes atteintes de SOPK ont reçu une supplémentation de 4 g de myo-inositol et 400 mcg d’acide folique par jour. Au cours de l’étude de 14 semaines, on a noté une amélioration des paramètres de la fonction ovarienne, y compris une augmentation de 25 % de la fréquence d’ovulation (par rapport à une hausse de 15 % dans le groupe placebo) et un délai considérablement plus court avant la première ovulation (24,5 jours par rapport à 40,4 jours pour le groupe placebo) (Gerli et al., 2007). Une méta-analyse de sept essais a mis en évidence que la supplémentation de 4 g de myo-inositol et 400 mcg d’acide folique avait amélioré le taux de grossesse chez des femmes infertiles suivant un traitement visant à induire l’ovulation, comme la fertilisation in vitro (FIV). La supplémentation a également permis la réduction des médicaments nécessaires pour promouvoir la fertilité (Imdad et al., 2011).

Chaque portion (2,15 g) contient :

Ingrédients médicinaux :
Myo-inositol 2 g
D-chiro-inositol 50 mg
Folate (L-5-méthyltétrahydrofolate, sel de calcium) 200 mcg
Vitamine B12 (méthylcobalamine) 1,5 mcg
Ingrédients non médicinaux :
poudre de balle d’Oryza sativa (riz) biologique.
 

Ce produit ne contient pas d’agents de conservation, colorants ou édulcorants artificiels ; sans produits laitiers, amidon, sucre, blé, gluten, levure, soja, œufs, poissons, fruits de mer, produits animaux, sel, noix ni OGM. Convient aux végétariens et végétaliens.

 

Études :

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), l’un des troubles métaboliques et hormonaux les plus répandus, touche une femme sur dix en âge de procréer (Costantino et al., 2009). Les femmes souffrant du SOPK présentent divers symptômes associés à la dysfonction menstruelle et l’excès d’androgènes, notamment un cycle menstruel irrégulier, la prise de poids, l’infertilité et la résistance à l’insuline (Costantino et al., 2009 ; Genazzani et al., 2014). Le SOPK est la cause la plus courante d’infertilité due à l’anovulation (absence d’ovulation).

La résistance à l’insuline touche de 30 à 40 % des femmes atteintes du SOPK et semble jouer un rôle déterminant dans le dysfonctionnement ovarien. De multiples essais cliniques appuient la supplémentation en myo-inositol et en D-chiro-inositol pour contrer les symptômes hormonaux et métaboliques liés au SOPK en favorisant un bon métabolisme du glucose et en réduisant la résistance à l’insuline (Costantino et al., 2009 ; Genazzani et al., 2014 ; Gerli et al., 2007 ; Regidor et al., 2018 ; Formuso et al., 2015).

Le folate actif (L-5-MTHF) et la méthylcobalamine (vitamine B12) soutiennent la fertilité et le développement précoce normal du fœtus, aident à la formation des globules rouges et contribuent au maintien d’une bonne santé (Imdad et al., 2011 ; Visentin et al., 2016). Des études cliniques montrent que la supplémentation en folate au moins trois mois avant la conception et durant les premiers stades de la grossesse réduit de 41 % le risque d’anomalies du tube neural (Imdad et al., 2011).

Des essais cliniques ont démontré que le myo-inositol et le D-chiro-inositol favorisent un cycle menstruel normal et l’ovulation chez les femmes atteintes du SOPK (Benelli et al, 2016 ; Gerli et al., 2007). Dans une méta-analyse de sept essais impliquant 935 femmes infertiles recevant du myo-inositol parallèllement à un traitement d’induction ovarienne avant une ICSI ou une FIV, on a noté une amélioration significative du taux de grossesse clinique accompagnée d’une amélioration de la qualité des embryons et des stimulants ovariens (Zheng et al., 2017). Lors d’une étude clinique incluant 48 femmes atteintes de SOPK et d’irrégularité menstruelle, les participantes ont reçu 1 g de D-chiro-inositol par jour avec 400 mcg d’acide folique pendant six mois. Les chercheurs ont conclu à l’efficacité du D-chiro-inositol pour améliorer la fonction ovarienne et le métabolisme, amélioration se traduisant par des diminutions statistiquement significatives de la tension artérielle systolique, de la LH, du rapport LH/FSH, de la testostérone libre et totale, de la delta 4 androstènedione et de l’indice HOMA, ainsi que par des augmentations statistiquement significatives de la SHBG et du rapport glycémie/IRI. De plus, on a noté une augmentation statistiquement significative de 62,5 % de la régularisation du cycle menstruel (Laganà et al., 2015).

Le myo-inositol est converti en D-chiro-inositol dans l’organisme mais on pense que cette conversion s’effectue trop rapidement chez les femmes atteintes de SOPK, ce qui entraîne un taux de D-chiro-inositol plus élevé et de myo-inositol plus faible. L’excès de D-chiro-inositol (> 600 mg par jour) nuit à la qualité des ovules et amplifie les problèmes d’infertilité. Le rapport physiologique myo-inositol/D-chiro-inositol est de 40:1, ce qui en fait le rapport optimal pour la supplémentation (Benelli et al., 2016). De plus, lors d’une étude clinique, la prise d’un supplément de 1,1 g de myo-inositol et de 27,6 mg de D-chiro-inositol par jour a aidé à améliorer la qualité des ovocytes et des embryons, ainsi que le taux de grossesse chez des femmes aux prises avec le SOPK suivant un traitement de FIV (Colazingari et al., 2013).

Le myo-inositol et le D-chiro-inositol dans le rapport physiologique optimal de 40:1 peuvent aider à soutenir une fertilité normale en cas de SOPK. Lors d’un essai aléatoire contrôlé par placebo de six mois impliquant 46 femmes atteintes du SOPK et ayant un IMC supérieur à 30, les participantes ont été assignées soit à un groupe traitement recevant du myo-inositol et du D-chiro-inositol dans un rapport 40:1, soit à un groupe placebo recevant de l’acide folique. Comparativement au groupe placebo, les femmes du groupe recevant le traitement ont présenté des améliorations significatives des paramètres endocriniens et métaboliques, soit une diminution de la testostérone libre, la LH, la glycémie à jeun, l’insuline à jeun et l’indice HOMA. Le groupe en traitement a également présenté une augmentation significative des taux de 17-bêta-estradiol. Aucune amélioration métabolique ou endocrinienne significative n’a été constatée dans le groupe placebo (Benelli et al., 2016).

Lors d’un essai clinique à double insu contrôlé par placebo, des femmes atteintes de SOPK ont reçu un supplément de 4 g de myo-inositol et 400 mcg d’acide folique par jour. Au bout de 16 semaines, les femmes prenant le myo-inositol présentaient une augmentation de 84 % de la sensibilité à l’insuline de l’ensemble du corps, alors qu’il n’y avait aucun changement dans le groupe placebo. On a également constaté que le myo-inositol avait amélioré la tolérance au glucose et réduit la concentration de testostérone sérique totale et la concentration de testostérone sans sérum respectivement de 66 % et 73 %. De plus, 69,5 % de ces femmes ont ovulé, comparativement à 21 % de celles ayant pris le placebo (Costantino et al., 2009). Lors d’un autre essai à double insu contrôlé par placebo, des patientes atteintes de SOPK ont reçu une supplémentation de 4 g de myo-inositol et 400 mcg d’acide folique par jour. Au cours de l’étude de 14 semaines, on a noté une amélioration des paramètres de la fonction ovarienne, y compris une augmentation de 25 % de la fréquence d’ovulation (par rapport à une hausse de 15 % dans le groupe placebo) et un délai considérablement plus court avant la première ovulation (24,5 jours par rapport à 40,4 jours pour le groupe placebo) (Gerli et al., 2007). Une méta-analyse de sept essais a mis en évidence que la supplémentation de 4 g de myo-inositol et 400 mcg d’acide folique avait amélioré le taux de grossesse chez des femmes infertiles suivant un traitement visant à induire l’ovulation, comme la fertilisation in vitro (FIV). La supplémentation a également permis la réduction des médicaments nécessaires pour promouvoir la fertilité (Imdad et al., 2011).

Études :

Benelli, E., Del Ghianda, S., Di Cosmo, C., et al. (2016). A combined therapy with myo-Inositol and D-chiro-inositol improves endocrine parameters and insulin resistance in PCOS young overweight women. Int J Endocrinol, 2016, 3204083.

Colazingari, S., Treglia, M., Najjar, R., et al. (2013). The combined therapy myo-inositol plus D-chiro-inositol, rather than D-chiro-inositol, is able to improve IVF outcomes: results from a randomized controlled trial. Arch Gynecol Obstet, 288(6), 1405-11.

Costantino, D., Minozzi, G., Minozzi, E., et al. (2009). Metabolic and hormonal effects of myo-inositol in women with polycystic ovary syndrome: a double-blind trial. Eur Rev Med Pharmacol Sci, 13(2), 105-10.

Formuso, C., Stracquadanio, M., & Ciotta, L. (2015). Myo-inositol vs. D-chiro inositol in PCOS treatment. Minerva Ginecol, 67(4), 321-5.

Genazzani, A.D., Santagni, S., Rattighieri, E., et al. (2014). Modulatory role of D-chiro-inositol (DCI) on LH and insulin secretion in obese PCOS patients. Gynecol Endocrinol, 30(6), 438-43.

Gerli, S., Papaleo, E., Ferrari, A., et al. (2007). Randomized, double blind placebo-controlled trial: effects of myo-inositol on ovarian function and metabolic factors in women with PCOS. Eur Rev Med Pharmacol Sci, 11(5), 347-54.

Imdad, A., Yakoob, M.Y., & Bhutta, Z.A. (2011). The effect of folic acid, protein energy and multiple micronutrient supplements in pregnancy on stillbirths. BMC Public Health, 11(Suppl 3), S4.

Laganà, A.S., Barbaro, L., & Pizzo, A. (2015). Evaluation of ovarian function and metabolic factors in women affected by polycystic ovary syndrome after treatment with D-Chiro-Inositol. Arch gynecol obstet, 291(5), 1181-6.

Regidor, P.A., Schindler, A.E., Lesoine, B., et al. (2018). Management of women with PCOS using myo-inositol and folic acid. New clinical data and review of the literature. Horm Mol Biol Clin Investig, 34(2).

Visentin, C.E., Masih, S.P., Plumptre, L., et al. (2016). Low serum vitamin B12 concentrations are prevalent in a cohort of pregnant Canadian women. J Nutr, 146(5), 1035-42.

Zheng, X., Lin, D., Zhang, Y., et al. (2017). Inositol supplement improves clinical pregnancy rate in infertile women undergoing ovulation induction for ICSI or IVF-ET. Medicine, 96(49), e8842.

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